Conclusion.

 

Au terme de cette étude, nous pouvons dire qu’il existe différents facteurs qui permettent la réintégration d’un grand brûlé dans la société . On peut différencier les traitements médicaux de l’entourage. Dans les traitements, nous distinguons les soins et la  réadaptation. Les soins sont nécessaires aux grands brûlés car ils permettent aux patients de se rétablir physiquement et les aident à se réintégrer. En revanche, la réadaptation permet aux patients de se rétablir esthétiquement grâce notamment au service de maquillage, mais aussi de se réintégrer socialement avec l’aide des services d’animation et celle de la psychologue. On peut ainsi dire que les traitements médicaux sont nécessaires mais pas suffisants pour permettre cette réintégration. L’entourage, composé de la famille, des associations et de la profession, aident énormément les grands brûlés à se réintégrer. La famille tout d’abord est l’un des facteurs les plus utiles car elle est souvent présente pour ces personnes, et représente 50% de la guérison. D’après le témoignage de plusieurs personnes, la famille est un élément primordial pour surmonter cette lourde épreuve et pouvoir se reconstruire. Les associations servent à soutenir la famille, et défendre les patients juridiquement. Elle propose aux brûlés de se confier, et de parler de ses douleurs morales ou même physiques. Pour ce qui est de la profession, elle aide les personnes à retrouver un train de vie habituel et surtout de se réintégrer même si le travail n’est plus le même que celui que le patient avait avant son accident. Finalement, les traitements médicaux sont un facteur très important et nécessaire pour ces personnes, mais ils ne sont pas suffisants pour permettre une totale réintégration. En effet, l’entourage joue un rôle capital.

Des campagnes de préventions sont organisées dans le but de mettre en garde les individus face à un danger potentiel, comme par exemple le monoxyde de carbone qui est invisible, inodore mais mortel. L’ABF entreprend de la prévention auprès des victimes. « La prévention, en fait c’est simple, c’est l’envie de vivre, de ne pas prendre de risques inutiles et de ne pas en faire prendre aux autres », nous explique Madame Lataste.

  1. témoignage très émouvant. Une grande leçon de vie..

  2. Bonjour,
    Mon mari a vécu ça il y a 3ans et je ne pensais pas qu’il pourrait surmonter cette épreuve pourtant, comme cette personne, il s’en ai sorti et arrive à vivre malgrè tout. Cette dame a été très courageuse et n’a pas perdu espoir, c’est un exemple pour toutes les victimes.

  3. je suis tout à faire d’accord ! Mon petit frère à était brulé lui aussi et il s’est battu pour surmonter cette épreuve dure et difficile

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